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Théâtre

Recluses dans leur maison familiale, Olga, Macha et Irina n’ont qu’un rêve : retourner à Moscou. Le drame de Tchekhov apparaît comme l’emblème d’une Russie au bord du gouffre dans une fin de siècle en proie à une immense détresse.En direct sur le plateau, l’homme à la caméra nous propose un autre regard sur l’action de la pièce de Tchekhov qui se joue sous nos yeux.
Sursis, c’est l’histoire d’un amour... de l’inquiétude de ceux qui inventent leur amour, exprimée dans les petits riens du quotidien, décrits avec minutie, bien au delà de la banalité.De part et d’autre d’un écran suspendu au milieu du plateau, deux comédiens nous racontent cette histoire, tandis que des images impressionnistes de ville et de nature, de foules et d’individus, interfèrent avec ce qui se joue entre l’homme et la femme.
Au cours d’une enquête sur le metteur en scène russe Meyerhold, quelques questions surgissent : -Quel était le prénom de Staline ? -Que sauver des flammes en cas d’incendie ?Réalisé dans le cadre d’une Master-class en Licence Arts du Spectacle à l’Université de Metz.
Filmé lors des répétitions et de la première création du spectacle par Eric Vigner au Centre Dramatique de Bretagne à Lorient en 1996.« Le génie de Corneille c’est de partir de toutes les formes de théâtre dont il est le témoin, le dépositaire… la commedia dell’arte, la comédie, la tragédie,… il invente à partir de ça un nouveau théâtre qu’on a qualifié a posteriori de classique. L’Illusion comique se trouve entre un ancien théâtre et un (...)